Les vélo routes
Il y a des itinéraires très connus et très souvent pratiqués par les cyclotouristes aventuriers dans le monde.
Ils ne sont pas forcément les plus faciles mais ils restent plutôt sécurisés du fait que de nombreux bikepackers soient passés avant toi.
Parmi un must ultra populaire: La Carratera Austral au Chili. C’est une autoroute du cycliste malgré l’état des routes en gravier pas toujours top et la météo capricieuse.
Il y a aussi la route 40 en Argentine, la route de la soie en Asie et tellement d’autres itinéraires mythiques qui me font encore rêver jusqu’à ce que je puisse y aller …
Les applications
Il existe de très nombreuses applications différentes pour voyager à vélo. Je ne vais parler ici que de celles que j’utilise car je ne connais pas les autres. Oui, j’en utilise plusieurs parce que j’aime bien recouper les informations entre elles.
Je l’utilise pour mes tracés. Komoot est très pratique pour retenir les itinéraires et les classer. Son point fort pour moi c’est le dénivelé. On peut facilement savoir quand ça grimpe et de combien de façon assez précise.
On peut aussi choisir le type de chemin que l’on souhaite emprunté : plutôt gravel? Route? VTT? Vous avez le choix . Je suis pour ma part très souvent en configuration gravel.
J’aime aussi beaucoup les petits vélos ou marcheurs rouges, qui sont des photos des lieux visités par les utilisateurs. Cela permet de se rendre compte de l’état des routes, de la beauté des paysages et de trouver d’éventuels spots de bivouac.
Évidemment, il faut quand même vérifier et on n’est jamais à l’abri de tomber sur un chemin difficile, privé, voir inexistant mais c’est aussi ça le voyage à vélo, un peu d’aventure et d’exploration !
Je crois qu’elles sont encore gratuites.
Je me suis servie de Maps.me au début des mes voyages. C’était pratique pour trouver des endroits où dormir et des itinéraires vélos sympas. Aujourd’hui, Komoot est très complet pour mes envies d’aventures donc je n’y suis plus mais j’imagine qu’elles sont top pour les voyages tranquilles car elles restent gratuites à l’inverse de Komoot.
*Google maps
Je l’utilise surtout lorsque j’ai internet pour trouver les supermarchés les plus proches avec les horaires d’ouverture .
Cette application me sert également pour recouper les trajets, vérifier les itinéraires proposés par komoot et des lieux de bivouacs potentiels.
Cela implique d’avoir toutefois une connexion internet et quand, comme moi, vous ne prévoyez pas les itinéraires à l’avance, c’est un peu la cerise sur le gâteau.
Vous pouvez bien sûr télécharger les cartes mais elles sont beaucoup plus lourdes et ne donnent pas accès à toutes les informations sur les lieux recherchés.
*La bonne vieille carte papier
Honnêtement, j’adore me repérer sur la carte papier. Savoir s’orienter sans son téléphone est un précieux atout et j’y aurai certainement recours un jour lors de mon exploration du monde.
Le seul inconvénient qu’elle présente et qui fait que j’utilise le téléphone aujourd’hui c’est que, pour un itinéraire précis, il faut beaucoup de cartes à vélo, et que beaucoup de cartes ça finit par peser lourd ….. Alors j’avoue et j’assume avoir choisi la facilité en passant par les applications.
La nature de l'itineraire
Le trafic … Les voitures et les camions qui vous frôlent, le bruit, respirer les pots d’échappement …
Vous êtes directement en rapport avec la nature, loin du trafic et du stress ambiant.
Vous croiserez moins de monde pour vous aider, vous devrez anticiper vos ravitos pour vous rendre au supermarché et vous risquez plus de tomber sur des mauvais chemins, parfois même privés ou fermés.